tag:blogger.com,1999:blog-8671792906204388537.post8852661149233218883..comments2024-03-27T17:24:55.328+01:00Comments on L'aviation selon Drix: Oui, les Mirages IV seraient passés ! (complété 14 / 09 / 2022 * ***)Drixhttp://www.blogger.com/profile/13286966270077187785noreply@blogger.comBlogger12125tag:blogger.com,1999:blog-8671792906204388537.post-8901101216603440512019-02-19T23:14:34.666+01:002019-02-19T23:14:34.666+01:00Je vous remercie pour votre éclairage extrêmement ...Je vous remercie pour votre éclairage extrêmement précis.<br /><br />Je me souviens encore de mon admiration lorsque j'ai vu, à la Halle aux vins, le premier CDC 3300 avec ses bandes qui semblaient tourner toutes seules, ses centaines de loupiotes qui clignotaient. Plus tard, je me suis calmé et j'ai compati avec ceux qui tapaient leurs programmes ou (leurs données à traiter) en Fortran sur des fiches de carton percées par des télétypes...<br /><br />Les choses ont tellement changé !<br /><br />Votre commentaire nous montre le pas de géant que les FAS ont permis de franchir sur le plan technologique : Merci beaucoup !Drixhttps://www.blogger.com/profile/13286966270077187785noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8671792906204388537.post-2202357917075272742019-02-19T21:34:07.034+01:002019-02-19T21:34:07.034+01:00Bonjour.
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Si les relations entre le générale de G...Bonjour.<br />.<br />Si les relations entre le générale de Gaulle et les présidents Américains sont exécrables, les liens unissant les industriels des deux pays sont en revanche fort bons. <br />Si la vente des avions ravitailleurs KC 135 est une véritable aubaine pour les F.A.S., elle n'est pas autant représentative que le prêt des premiers super-calculateurs d'IBM et le transfert technologique des centrales inertielles et leur système de réglage infrarouge des Super-Etendards pratiquement offert à Sagem (c'est du moins ce qu'en dit "le fana de l'aviation hors série consacré au Super-Étendard).<br />.<br />Mais revenons au prêt du super calculateur récemment installé place Vendôme à la société Dassault: si la cellule du Mirage IV était d'un dessin assez simple (un mirage III avec le double de taille et de moteurs), le système de navigation était une autre paire de manche...<br />J'ose même dire que rien de neuf avait été développé dans ce domaine depuis les radio-compas.<br />Il fallu donc créer de toutes pièce un engin préfigurant les centrales de navigation autonomes...A l'époque, un exploit reposant sur des calculs de trigonométrie, prenant le régime des moteurs comme référence de distance... oui, comme les V1 avec leur hélice compte tour- et un radar de cartographie. Le navigateur devait vraiment une grosse charge de travail!Fabien Hyverthttps://www.blogger.com/profile/01547617598547352816noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8671792906204388537.post-29195444365017597342018-10-21T15:27:53.870+02:002018-10-21T15:27:53.870+02:00Bonjour.
Concernant le terme "allié" qu...Bonjour. <br />Concernant le terme "allié" que j'emploie pour qualifier la relation de l'URSS avec Hitler, les guillemets sont là pour rappeler que la volonté de Staline était peut-être ce que vous dites, mais que, en réalité, Hitler avait publié ses desseins dans Mein Kampf : Coloniser l'Est de l'Europe pour en faire son Lebensraum (espace vital). Cela s'accompagnait de la destruction du communisme sous toutes ses formes. Une alliance implique au moins 2 partenaires. <br /><br />OK, l'URSS a bien été gentille avec Hitler, ce qui lui a permis de nous écraser plus facilement, mais lui voulait tenir ce qu'il avait promis.<br /><br />Staline était aussi mégalomane qu'Hitler et il avait l'intention de récupérer l'Ouest Européen sous sa domination. Ce qu'il a fait, grâce à Yalta.<br /><br />Les accords du Quincy sont clairs et inféodent les USA à l'Arabie Saoudite qui, en échange, devait assurer la fourniture en pétrole. Cela permettait d'assurer une suprématie US dans le monde non communiste.<br /><br />Quant au Hustler, on peut raconter ce que l'on veut sur la volonté des état-majors, mais une durée de 8 ans, associée à des pertes conséquentes montre que l'avion n'était pas au point. Ne vous alarmez pas : Le bond technologique était énorme par rapport au B 52 (toujours présent).<br /><br />Le F 111, entré en service en 1967, a, lui, duré jusqu'en 2010.<br /><br />Enfin, le Mirage IV a eu un successeur exact, le Mirage 4000, que nous n'avons pas pu nous payer. Mais le Rafale assure le travail.<br /><br />Drixhttps://www.blogger.com/profile/13286966270077187785noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8671792906204388537.post-58531756562914721242018-10-20T13:12:07.841+02:002018-10-20T13:12:07.841+02:00merci. Je reviens longtemps après sur cet échange....merci. Je reviens longtemps après sur cet échange. Je ne suis pas sûr de bien comprendre les guillemets autour de "allié" appliqué à l'URSS vis-à-vis du IIIème Reich après le pacte germano-soviétique du 23 août 1939. Dans la conception de Staline en tous cas, l'URSS et le IIIème Reich étaient bien des alliés, d'abord pour se partager la Pologne, les États baltes et la Finlande (mais là Staline va se casser les dents) et dépouiller la Roumanie, mais surtout à long terme : quand Molotov se rend à Berlin en décembre 1940 pour négocier la suite du pacte, c'est lui qui propose une carte de partage du monde entre l'URSS et le IIIème Reich, qui par exemple attribue les Indes et l'Iran à la sphère d'influence soviétique. Que Hitler n'ait pas eu la même vision et n'ait pas, lui, considéré l'URSS comme un allié, voyant dans le pacte un choix d'opportunité (lui apportant néanmoins d'énormes bénéfices géo-stratégiques et économiques), c'est probable. Mais la conception soviétique était bien celle d'une alliance durable des deux régimes totalitaires contre les démocraties. D'où le refus de Staline de croire à la réalité des préparatifs allemands ou aux mises en garde britanniques (et de ses propres espions : Sorge), et de prendre des mesures préventives du côté soviétique. Les livraisons soviétiques de matières premières et de céréales, par le train, se sont même poursuivies durant la journée du 22 juin 1941, alors que la Wehrmacht avait déjà lancé l'opération Barbarossa !<br />Quant au fait que l'administration Eisenhower ait été en 1956 inféodée à l'Arabie saoudite, il est permis d'en douter : à cet époque les États-Unis sont encore exportateurs nets de pétrole, et s'approvisionnent peu au Moyen-Orient, et c'est plutôt l'Arabie saoudite qui est étroitement liée aux Etats-Unis (dans ce sens) depuis les accords signés sur l'USS Quincy.<br />S'agissant du B-58 (toujours un tiret), je ne faisais pas un parallèle entre les deux avions, mais entre les modalités d'emplois, elles très proches. Si le B-58 fut retiré du service après 10 ans de carrière opérationnelle, c'est parce que l'inventaire du SAC était trop réduit (80 avions en unités en moyenne durant les années 1960). Et si la production du B-58 a été limitée (100 exemplaires) et brève(2 ans), c'est parce que le SAC n'en avait pas voulu initialement, simplement parce que l'avion ne résultait pas d'un programme initié par lui, SAC, mais par un autre commandement (l'AMC devenu ARDC), ce qui était un crime de lèse-majesté. Ensuite le SAC avait craint que l'avion ne retarde le bombardier stratégique ultime, le couple WS-110 (le futur XB-70) et WS-110A (le bombardier ANP). Et enfin parce que Curtiss LeMay et Convair se brouillèrent au sujet du financement du développement de versions avancées du B-58, qui ne virent donc pas le jour. Quand le SAC réalisa en 1960-61 que ni l'un ni l'autre des avions du programme WS-110 ne se ferait, il voulut obtenir en catastrophe des B-58A supplémentaires, mais le programme était en train de s'achever sur le plan industriel. Et aussi, si le B-58 a été retiré en 1970, c'est parce qu'il avait un successeur, qui entrait en service (FB-111A) à ce moment-là. Le Mirage IV-A, qui n'était pas vraiment l'avion dont l'Armée de l'air avait rêvé, n'a lui jamais eu de successeur.stargazer896https://www.blogger.com/profile/06846295289550795354noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8671792906204388537.post-42868852860518380062016-02-20T00:05:05.598+01:002016-02-20T00:05:05.598+01:00Merci de vos informations.
Par contre, la totalit...Merci de vos informations. <br />Par contre, la totalité de mon information sur les patriotes vient des USA. Nos journalistes, eux, étaient scotchés devant le spectacle.<br /><br />La thématique ABM, de mon point de vue, est un problème technique passionnant pour l'ingénieur mais horriblement coûteux, pour les contribuables. <br /><br />Une tactique élémentaire de saturation suffit toujours à rendre les ABM faillibles.<br /><br />Je ne doute pas que, avec de la persévérance, on arrive un jour à obtenir de tels objets à un prix "raisonnable". <br /><br />Nous n'y sommes pas encore, sauf si nous voulons faire cramer un missile en train de s'élever du sol, phase bien délicate.<br /><br /><br />Le B 58 que vous citez était un avion rapide, certes, mais extrêmement délicat à piloter malgré une une charge alaire seulement moyennement élevée (~500 kg/m²). <br /><br />L'exemplaire qui avait reçu le prix Louis Blériot s'écrasa pendant le salon du Bourget...<br /><br />Il n'avait rien à voir avec un Mirage IV A.<br /><br />Il fut retiré du service seulement 10 ans après son entrée en service. <br /><br />Le Vigilante, de la Navy, strictement contemporain, fut un bien meilleur avion et dura 9 ans de plus.<br /><br />Drixhttps://www.blogger.com/profile/13286966270077187785noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8671792906204388537.post-33460647714610846972016-02-19T18:13:59.855+01:002016-02-19T18:13:59.855+01:00Bonsoir. Non, le transfert du concept de masse cri...Bonsoir. Non, le transfert du concept de masse critique dynamique est antérieur (1958, lors d'une visite du CEA/DAM au LANL) ; simplement ce concept devait être validé par l'engin de l'essai Gerboise verte prévu pour mai 1961 ; l'engin dut être mis à feu dans la précipitation et de mauvaises conditions météo le 25 avril 1961 pour éviter qu'il ne tombe entre les mains des généraux putschiste d'Alger et fût un fizzle, ne donnant pas les renseignements attendus et ne validant pas la conception d'un engin opérationnel dérivé. La première arme opérationnelle AN-11 dut en conséquence être construite selon le concept initial et était dangereuse (au sens de sûreté nucléaire, pas "sale") car dépassant la masse critique à l'état alpha. <br />En soi, la conception théorique d'une arme nucléaire ne représentait pas un exploit. Vers 1960, pour rester en Europe, la Suède, l'Italie et la Suisse disposaient de cette capacité, des matières nécessaires, et au moins pour les deux premiers, des vecteurs (c'est à eux que pensait Kennedy quant il pronostiquait 20 Etats dotés en 1970, pas à l'Iran ou au Pakistan, et contre eux qu'a été créé le TNP). L'aide américaine à la France sur tout le reste a été décisive, notamment les C-135F, la navigation intertielle et la production industrielle de gros moteurs à poudre. La France des années 60-70 n'aurait eu aucune possibilité de substituer des développements nationaux. La coopération américaine sur les défenses soviétiques et surtout le ciblage n'allait pas de soi, compte tenu des relations franco-américaines durant la période.<br />La probabilité de réussite du S-200 sur un avion supersonique en altitude était élevée ; la charge importante s'explique par la nécessité de détruire à coup sûr un avion de grande taille employant des ECM, comme un B-58, même avec une mise à feu relativement éloignée de la cible (d'où l'existance d'une version à charge nucléaire). En général, les résultats obtenus en 1991 par le Patriot contre les SS-1c durant les guerres du Golfe ont été très sous-estimés en France du fait de l'impopularité de la thématique ABM et anti-missile (syndrome du renard et des raisins : hors d'atteinte, donc mauvais). Israël est un bon exemple de succès de la défense anti-missile, avec de la persévérance et des moyens.<br />CdltAnonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8671792906204388537.post-26977934684123321872016-02-19T17:40:13.929+01:002016-02-19T17:40:13.929+01:00Bonjour. A vous lire, l'aide US n'a commen...Bonjour. A vous lire, l'aide US n'a commencé qu'après les premiers essais nucléaires Français et la construction de la bombe AN 11 dont vous sous-entendez qu'elle était une bombe sale. Donc, quand cette aide arrive, elle n'était déjà plus décisive.<br /><br />Je ne doute pas que nos généraux et les généraux US se soient mis d'accord sur les sites, ce n'est pas à proprement parler une aide, c'est juste un comportement logique entre alliés. <br /><br />Si les S 200 sont des missiles très rapides, vous m'excuserez de ne pas prendre pour argent comptant la probabilité de 0,85 d'impact pertinent, en particulier dans la période de référence. La charge explosive très considérable de 245 kg ne plaide d'ailleurs pas pour un missile hyper-précis.<br /><br />J'ai vécu en 1991, devant ma télévision, les tentatives d'interception de Scud Irakiens par des missiles Patriotes installés en Israël et ce ne fut pas du tout concluant. Les Scud étaient rapides, certes, mais ils n'étaient pas pilotés.<br /><br />Une fois que nos bombardiers nucléaires volaient, il devenait simplement ridicule de continuer à se moquer de nous.<br /><br />Nous avons eu a subir maintes moqueries sur nos SNA et SNLE (voir les propos de l'amiral Rickover)... <br /><br />Drixhttps://www.blogger.com/profile/13286966270077187785noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8671792906204388537.post-75484953325440133222016-02-19T15:42:03.781+01:002016-02-19T15:42:03.781+01:00Bonjour. Sans rentrer dans tous les détails, l'...Bonjour. Sans rentrer dans tous les détails, l'aide américaine a été déterminante à tous les niveaux du développement de la force de dissuasion française : physique fondamentale (avec le transfert de la notion de masse critique dynamique, qui a permis de faire des armes moins dangereuses -pour l'utilisateur- que l'AN-11, plus compactes et plus économes en matières nucléaires), pour les vecteurs (toutes les centrales inertielles des missiles balistiques français jusqu'au milieu des années 1980 étaient fabriquées sous licences américaines Litton et Singer-Kearfoot), pour les équipements de production (sans les malaxeurs achetés aux Etats-Unis durant les années 1960, pas de MSBS ni de SSBS), pour le déploiement (pas de Mirage-IVA sans C-135F), et de façon absolument déterminante, pour le ciblage et pour la connaissance des défenses aériennes soviétiques, sous le forme de réunions semestrielles secrètes entre états-majors dès 1967. Si les Mirage-IVA "étaient passées", cela aurait été au premier chef en contournant les sites de S-200 (SA-5 Gammon) soviétiques dont la localisation avait été communiquée par les Etats-Unis. Et l'aide britannique de l'AWRE d'Aldermaston a été déterminante pour la mise au point de l'arme thermonucléaire française, le CEA/DAM étant parti en 1962-66 dans une impasse physique complète (cf les mémoires du directeur du centre de Chatillon de l'époque, Pierre Billaud). Le réacteur des SNLE Redoutable était directement inspiré du S3W américain, sur lequel la DCN avait obtenu de Westinghouse, avec l'autorisation de l'administration Johnson, des informations très complètes en 1964 (heureusement d'ailleurs, la tentative de réacteur nucléaire national à l'U naturel pour le Gymnote en 1959 ayant abouti à un réacteur plus volumineux que le sous-marin tout entier !). Comme vous le savez, l'industrie française des réacteurs de puissance à bénéficié de très importants transferts de technologies américaines des la fin des années 1950 (FRAMATOME : "société FRAnco-AMéricaine d'énergie ATOmique") et les brevets PWR de Westinghouse ont été à l'origine de cette industrie. J'ajoute que les élucubrations d'Ailleret dans la RDN de 1967 sur une dissuasion "tous-azimuts" qui laissait entendre (stupidement) que la France pourrait un jour avoir besoin d'exercer une dissuasion à l'égard des États-Unis n'a jamais été la doctrine officielle française ; de Gaulle, dans ses dernières instructions à un CEM des armées en novembre 1968 était d'ailleurs très clair sur ce point. CordialementAnonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8671792906204388537.post-3773604171427309382014-10-25T23:49:50.184+02:002014-10-25T23:49:50.184+02:00La reconnaissance de la valeur de nos forces strat...La reconnaissance de la valeur de nos forces stratégiques par les USA est intervenue terriblement tard, exactement comme la reconnaissance officielle par F.D. Roosevelt, en Septembre 1944, du gouvernement provisoire de la République Française et de son chef, Charles De Gaulle.<br /><br />N'étant pas dans le secret des Dieux, je ne peux prendre en compte que ce qui me paraît plausible.<br /><br />Le seul pays qui ait été aidé par les USA sur le plan nucléaire fut l'Angleterre.<br />Elle fut aidée sur les bombes et sur les sous-marins.<br />Mais cette aide a eu un prix terrible : La perte de l'indépendance stratégique Britannique. <br /><br />Toujours à ma connaissance, les USA sont nos alliés, mais pas plus.<br /><br />Il vous suffit de voir comment ils traitent le Rafale pour voir que même en travaillant en Afrique et en Irak dans le même sens qu'eux, nous ne les satisfaisons pas.<br /><br />J'en conclus que ces rumeurs d'aide sont juste destinées à faire croire <br />i) à notre incapacité dans ces domaines et <br /><br />ii) à démontrer qu'ils ont été généreux à notre endroit.<br /><br />Jusqu'à preuve du contraire, je ne crois donc pas du tout à une telle aide.<br /><br />Drixhttps://www.blogger.com/profile/13286966270077187785noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8671792906204388537.post-84767586496850479442014-10-25T23:21:51.543+02:002014-10-25T23:21:51.543+02:00Les Américains ont reconnu depuis que notre force ...Les Américains ont reconnu depuis que notre force de dissuasion était crédible dès le début. Les raisons de leur hostilité étaient purement politiques. Il semble cependant qu'ils nous aient accordé une aide discrète pour la mise au point de nos sous-marins nucléaires.BTnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8671792906204388537.post-16603095582357142062012-10-09T12:01:12.845+02:002012-10-09T12:01:12.845+02:00Je n'ai, comme information fiable, que le fait...Je n'ai, comme information fiable, que le fait que l'URSS exigeait des USA qu'ils incluent la force de dissuasion Française dans les négociations sur le désarmement nucléaire. Ce que nous avons toujours refusé, la nôtre ayant très vite été définie comme force tous azimuts (Ailleret, RDN, 1967).<br />Mais, lorsque je suis allé en URSS en 1971, j'ai pu voir un seul Mig 21 - en vol, au dessus de Tallin - mais surtout des Mig 17 qui n'auraient en aucun cas pu faire de mal à nos Mirages. <br />Dans nos revues chéries, on parlait surtout du Mig 25 qui frôlait Mach 3 mais qui n'était apparemment pas du tout fréquent. Drixhttps://www.blogger.com/profile/13286966270077187785noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8671792906204388537.post-51921718655399872002012-10-09T11:00:24.178+02:002012-10-09T11:00:24.178+02:00Bonjour,
Vous dites bien le discours des USA vis ...Bonjour,<br /><br />Vous dites bien le discours des USA vis à vis de ce vecteur mais il serait intéressant d'avoir l'avis d'ex officiers de la défense aérienne de l'ancienne URSS. Nous prenaient-t'ils pour des zozo avec notre Mirage IV ? Ou au contraire les avons nous obligé à accentuer leurs efforts de détections et interceptions ?Montaudrannoreply@blogger.com